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A Nice, après les événements du 14 juin, lorsque 5 Tchétchènes ont été blessés par balles, par des trafiquants de drogue locaux, divers types de provocations et d’actes d’agression ont commencé à se produire.
Des femmes tchétchènes ont par la suite été agressées et insultées à plusieurs reprises par des femmes d’apparences nord-africaines.
Le 10 juillet, une Française qui a épousé un Tchétchène a été agressée en plein jour dans la zone densément peuplée de Pont Michel. Un jeune homme d’apparence nord-africaine lui a demandé si elle était tchétchène, quand celle-ci a répondu qu’elle n’était pas tchétchène, mais qu’elle été mariée à un tchétchène, il l’a agressé et, en donnant prétendument son nom, son numéro de téléphone, et un message à faire passer aux tchétchènes.
La personne recherchée en vertu de ces données a nié toute implication dans cette attaque.
Malheureusement, la victime, sous la pression des proches de son mari, a refusé de porter plainte auprès de la police.
Aujourd’hui, le 16 juillet, à 8 heures du matin, à un arrêt de bus du fameux quartier Saint-Roch, une autre femme d’origine tchétchène a été victime de racket.
Comme dans le premier cas, la victime n’a pas déposé plainte auprès de la police. Il est difficile d’expliquer un tel comportement, qui ne fait que confirmer l’image des Tchétchènes comme une communauté sans instruction et marginalisée, incapable de défendre leurs droits par des moyens légaux. En tout cas, on peut constater une augmentation des actes d’agression dirigés directement ou indirectement contre les Tchétchènes à Nice, malgré le fait que les dirigeants des Nice tchétchènes aient tenté de se réconcilier avec le maire de cette ville, qui a récemment accusé la communauté tchétchène de se battre pour un monopole sur le marché de la drogue.